Les Iles Galapagos

Nous voilà au nord de l’île de Santa Cruz. Direction en premier le Cerro Dragon. Une petite colline d’où on a une jolie vue sur l’île et la baie.

On va en premier sur la petite île de 24 hectares de Santa Fe. Il y a des cactus immenses ici. La végétation varie énormément d’une île à l’autre. Également des iguanes terrestres vivant uniquement sur cette petite île, et nulle part ailleurs dans le monde.

C’est très joli, moins qu’Española tout de même, mais bon je ne vais pas me plaindre !

Aujourd’hui, il y a du changement sur le bateau. Les couple d’US, d’australiens et d’argentins partent (ils avaient réservé pour 4 jours). Ils sont remplacés par un couple d’allemands, deux hollandaises et un autre couple d’US.

Le matin, on visite un petit musée qui explique l’histoire des îles et les dates marquantes. Il y a également une partie sur la protection de la faune et de la flore et sur les programmes en cours. Mais c’est léger, et je pense que la page wikipedia donne au moins autant d’infos.

Debout à 6h30 ; ce n’est pas des vacances de visiter les Galápagos !

Une heure plus tard, on débarque sur l’île Española pour faire une marche de 2h30. C’est mieux d’y aller tôt car à partir de 8h-8h30, il doit faire déjà plus de 30 degrés !

Cette île est réputée pour être l’une des plus belles îles de l’archipel, en concurrence avec l’île Bartolome (sur laquelle il y a des pingouins, mais que nous n’avons pas visité malheureusement car trop loin).

Bien motivé dès le 2ème jour, je me lève à 5h45 pour essayer de voir des orques. Notre guide en a vu dans le coin deux semaines auparavant.

Mais j’ai eu moins de chance puisque je n’en ai vu aucun durant le séjour…. Pour me consoler, j’ai assisté à un magnifique lever de soleil sur la mer et sur l’île Floreana.

Les îles Galápagos, appartenant à l’Équateur, sont considérées comme l’un des derniers paradis sur terre pour la biodiversité. Je voulais vérifier si c’était le cas et me suis offert une croisière de 8 jours sur un petit bateau, le New Flamingo.

Mais c’était un rêve, et les rêves n’ont pas de prix !