Cochabamba – Du 16/07 au 23/07/2015

Je suis désormais à Cochabamba, à 8h de bus de La Paz. Je suis redescendu à 2 500 mètres d’altitude après beaucoup de temps passé sur l’altiplano. Ça fait un bien fou de retrouver la chaleur ! Pouvoir se balader en t-shirt et short, et ne pas mettre quatre épaisseurs le soir pour ne pas avoir froid… Je crois que c’est surtout pour ces raisons que j’ai aimé cette petite étape !

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La Paz – Du 03/07 au 16/07/2015

« Tous les globe-trotters du monde le savent, c’est dans les rues qu’ils se frottent à l’identité d’un pays, tant esthétique que politique, tant mystique qu’économique. »

Manu Chao

La Paz… Capitale la plus haute au monde, de 3 200 à 4 000 m d’altitude, entourée de la Cordillère Royale avec une centaine de montagnes à plus de 5 000 m. Le cadre fait rêver ! On m’avait dit beaucoup de bien et de mal de cette ville.

Mais comme toujours, le mieux est de se faire sa propre opinion en baroudant dans la ville et les environs !

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Arequipa et le Cañon del Rio Colca – 22/06 au 28/06/2015

Après une nouvelle nuit de bus depuis Cuzco, j’arrive au petit matin à Arequipa. Cette ville est surnommée la ville blanche du Pérou en raison du nombre important de bâtiments bâtis en roche volcanique. Elle est classée au Patrimoine mondial par l’Unesco, et le proverbe ici est « La lune a oublié d’emporter la ville quand elle s’est séparée de la Terre »

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Huaraz – Du 21/05 au 01/06/2015

J’attendais cette ville avec impatience !

Huaraz est une ville perchée à plus de 3 000m d’altitude et est considérée comme la Kathmandu des Andes. D’un côté la Cordillère Blanche avec un nombre incalculable de sommets enneigés à plus de 5 000m, et de l’autre côté la Cordillère Noire. Un paysage de rêve ! J’y suis venu évidemment pour faire des treks et je n’ai pas été déçu.

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Piura et Chiclayo – Du 23 au 27/04/2015

Me voilà désormais au Pérou !

J’ai passé la frontière à 2 heures du mat’. On m’avait prévenu que c’était une frontière assez surveillée et pouvant être dangereuse. Bah en fait pas du tout ! Côté Équatorien, il y a deux cabanons de chantiers servant de poste de contrôle. Après, on passe le pont international à pied pour arriver côté Péruvien où c’est un peu près la même chose !

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